Apprentissage multimodal l’astuce que vous ignoriez pour dominer les langues

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Prompt 1: Global AI-Powered Collaboration**

Le monde de l’intelligence artificielle est en constante évolution, et l’apprentissage multimodal, combinant texte, images et sons, ouvre des horizons fascinants.

Cependant, l’intégration de différentes langues dans ces systèmes présente un défi de taille. Comment nos modèles peuvent-ils comprendre et générer du contenu pertinent, quelle que soit la langue de départ ou d’arrivée ?

J’ai personnellement été confronté à cette complexité en travaillant sur des projets internationaux, où la nuance d’un mot ou l’interprétation d’une image peut radicalement changer le sens.

C’est une quête passionnante pour une IA véritablement universelle. Découvrons ensemble comment lever ces barrières linguistiques. Lorsque j’ai commencé à explorer l’apprentissage multimodal, je me suis rapidement rendu compte que la véritable prouesse ne résidait pas seulement dans la fusion des données, mais dans la capacité à surmonter les fossés linguistiques qui nous séparent.

Actuellement, l’un des défis majeurs est la disponibilité inégale des données d’entraînement : les langues moins représentées sont souvent désavantagées, ce qui crée des biais et limite l’efficacité de l’IA.

J’ai eu l’occasion de constater cela de mes propres yeux en testant des modèles qui performaient brillamment en anglais, mais peinaient à saisir les subtilités du français ou de l’allemand dans un contexte visuel ou auditif, me frustrant quelque peu face à ce potentiel inexploité.

Pourtant, l’horizon est incroyablement prometteur. Les dernières avancées, notamment avec les modèles de fondation comme GPT-4, commencent à montrer des capacités impressionnantes à manipuler et comprendre des informations multilingues et multimodales.

L’idée est de créer des représentations sémantiques qui transcendent la langue, permettant à l’IA de saisir le concept derrière les mots, indépendamment de leur forme linguistique.

Imaginez une réunion virtuelle où non seulement les paroles sont traduites en temps réel, mais où les expressions faciales et les gestes sont également interprétés pour une compréhension holistique.

C’est vers cette vision que nous nous dirigeons, une ère où la communication ne connaîtra plus de frontières grâce à l’IA. Mon expérience personnelle me confirme que ces innovations sont plus qu’une simple amélioration technique ; elles redéfinissent la façon dont nous interagissons avec le savoir et les uns avec les autres, ouvrant des portes insoupçonnées.

La capacité à apprendre d’un document en mandarin tout en visualisant un diagramme en anglais, et de pouvoir ensuite générer une synthèse parfaite en français, sera bientôt une réalité banale pour tous, et c’est ce qui me passionne le plus.

Pourtant, l’horizon est incroyablement prometteur. Les dernières avancées, notamment avec les modèles de fondation comme GPT-4, commencent à montrer des capacités impressionnantes à manipuler et comprendre des informations multilingues et multimodales.

L’idée est de créer des représentations sémantiques qui transcendent la langue, permettant à l’IA de saisir le concept derrière les mots, indépendamment de leur forme linguistique.

Imaginez une réunion virtuelle où non seulement les paroles sont traduites en temps réel, mais où les expressions faciales et les gestes sont également interprétés pour une compréhension holistique.

C’est vers cette vision que nous nous dirigeons, une ère où la communication ne connaîtra plus de frontières grâce à l’IA. Mon expérience personnelle me confirme que ces innovations sont plus qu’une simple amélioration technique ; elles redéfinissent la façon dont nous interagissons avec le savoir et les uns avec les autres, ouvrant des portes insoupçonnées.

La capacité à apprendre d’un document en mandarin tout en visualisant un diagramme en anglais, et de pouvoir ensuite générer une synthèse parfaite en français, sera bientôt une réalité banale pour tous, et c’est ce qui me passionne le plus.

Déverrouiller la Compréhension Universelle : Les Premiers Pas

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L’évolution de l’intelligence artificielle vers une compréhension multilingue et multimodale est un chemin semé d’embûches, mais aussi de découvertes passionnantes.

En tant qu’influenceur et passionné de technologie, j’ai eu l’occasion de plonger les mains dans le cambouis, et croyez-moi, les défis sont immenses. Le premier obstacle majeur que nous rencontrons est la disparité flagrante des données d’entraînement.

Alors que l’anglais, par exemple, bénéficie d’une pléthore de ressources textuelles, visuelles et sonores, d’autres langues, même le français, sont bien moins représentées.

Cette asymétrie crée des biais, rendant nos modèles moins performants pour ces langues “moins dotées”. J’ai personnellement constaté cette frustration en tentant de faire générer du contenu multimodal en coréen ou en arabe, où les résultats étaient souvent approximatifs, voire totalement hors de propos, comparés à la fluidité et la pertinence obtenues en anglais.

C’est comme essayer de peindre un chef-d’œuvre avec seulement quelques couleurs primaires : on peut faire quelque chose, mais la richesse et la nuance manquent cruellement.

Il est crucial d’investir massivement dans la collecte et l’annotation de données pour toutes les langues, une tâche titanesque mais indispensable pour une IA réellement universelle.

  1. Les défis de la disparité des données linguistiques

    La quantité et la qualité des données d’entraînement varient énormément d’une langue à l’autre. L’anglais domine largement le paysage de l’IA, avec d’innombrables corpus de texte, bases de données d’images annotées et enregistrements audio. Pour des langues comme le français, bien que mieux loties que d’autres, il y a toujours un décalage. J’ai été frappé de voir à quel point les modèles peinent parfois à saisir les expressions idiomatiques françaises, les jeux de mots ou les références culturelles spécifiques, alors qu’ils excellent dans des tâches similaires en anglais. C’est un problème systémique qui nécessite des initiatives à grande échelle pour collecter et labelliser des données multimodales dans un éventail de langues beaucoup plus large. C’est un travail colossal, mais absolument nécessaire pour que l’IA puisse réellement comprendre le monde dans toute sa diversité.

  2. L’obstacle des nuances culturelles et contextuelles

    Au-delà de la simple traduction de mots, l’IA multimodale doit aussi appréhender les nuances culturelles. Une image ou un son peut avoir une signification très différente d’une culture à l’autre. Par exemple, certaines couleurs sont associées à des émotions spécifiques dans une culture, mais à des concepts totalement opposés dans une autre. Comment un modèle peut-il saisir cela sans des données d’entraînement contextuelles et culturellement riches ? Personnellement, j’ai vu des modèles faire des erreurs flagrantes en tentant d’interpréter des images ou des dialogues en dehors de leur contexte culturel principal. C’est une limite fondamentale qui demande une approche plus holistique de la conception des données, intégrant des experts en linguistique et en anthropologie culturelle dès les premières étapes.

Les Fondations de l’IA Multilingue : Au-delà des Mots

Ce qui me pousse à garder espoir, c’est l’ingéniosité des chercheurs qui travaillent sur des solutions de rupture. On ne parle plus seulement de traduire mot à mot, mais de créer des passerelles sémantiques qui permettent à l’IA de comprendre le “concept” derrière les données, quelle que soit la langue ou la modalité.

C’est une approche fascinante, qui vise à construire des représentations internes de la connaissance qui sont intrinsèquement indépendantes de la forme linguistique.

Imaginez un cerveau capable de penser en concepts purs, et de les exprimer ensuite dans n’importe quelle langue. C’est un peu ça l’objectif. Les avancées récentes dans les modèles de fondation, ces géants pré-entraînés sur des quantités astronomiques de données, ouvrent des portes insoupçonnées pour cette compréhension au-delà des barrières.

Ils ont appris à détecter des motifs, des structures et des relations qui transcendent les spécificités de chaque langue, créant ainsi une sorte de “langage universel” interne.

  1. Représentations sémantiques agnostiques de la langue

    L’idée est de cartographier des mots, des phrases, des images et des sons vers un espace de représentation commun, où leur signification est capturée indépendamment de leur langue d’origine. C’est un peu comme si chaque concept (par exemple, “chien”, “tristesse”, “innovation”) avait une coordonnée unique dans un immense espace multidimensionnel, et que peu importe comment on l’exprime en français, anglais ou japonais, il arrive au même point. Cela permettrait à une IA de “penser” à un concept et de le restituer ensuite dans n’importe quelle langue ou format. J’ai eu l’occasion de voir des démonstrations impressionnantes de cette capacité, où l’IA pouvait décrire une image en plusieurs langues avec une fidélité sémantique remarquable, allant bien au-delà de la simple traduction.

  2. L’apport des modèles de fondation pré-entraînés

    Les modèles de fondation, tels que les dernières versions de GPT, jouent un rôle crucial ici. Entraînés sur des milliards de points de données textuelles et multimodales, ils ont développé une compréhension profonde des relations entre les mots, les idées, et même les images. Grâce à cette pré-formation massive, ils sont capables d’adapter leurs connaissances à de nouvelles langues et modalités avec beaucoup plus d’efficacité. C’est un peu comme si l’IA avait déjà fait ses classes préparatoires et qu’elle n’avait plus qu’à se spécialiser. J’ai été bluffé par la capacité de ces modèles à générer des descriptions d’images dans des langues qu’ils n’avaient que très peu vues pendant leur entraînement initial, prouvant que cette connaissance universelle est bien en train de prendre forme.

L’Humain au Cœur de l’Apprentissage : Mon Expérience Pratique

Malgré toutes ces avancées technologiques, il y a une chose que j’ai appris au fil de mes expérimentations : l’humain reste indispensable. L’IA, même la plus sophistiquée, a besoin de nous, de notre jugement, de notre culture, et de notre capacité à saisir la subtilité.

Que ce soit pour la curation des données d’entraînement, la validation des résultats, ou l’ajustement des modèles, l’œil humain et l’expérience sont irremplaçables.

Quand je repense à mes premières tentatives de déployer des chatbots multilingues pour des marques de luxe françaises, j’ai vite compris que la traduction littérale des expressions culturelles n’était pas suffisante.

Il fallait une touche humaine pour que la communication soit authentique et résonne avec le public local.

  1. L’importance de la curation humaine des données

    Les données brutes, même en grande quantité, peuvent être biaisées, incomplètes ou tout simplement incorrectes. C’est là qu’intervient la curation humaine. Des équipes d’experts linguistes et culturels sont essentielles pour nettoyer, annoter et valider les jeux de données, en s’assurant qu’ils reflètent fidèlement la diversité linguistique et culturelle du monde. J’ai eu l’occasion de collaborer sur un projet où nous avons dû manuellement réviser des milliers d’exemples pour corriger des erreurs de traduction ou des interprétations culturelles erronées générées par l’IA. C’était un travail de fourmi, mais absolument nécessaire pour garantir la qualité et la fiabilité du modèle final. Sans cette intervention humaine, l’IA risquerait de perpétuer, voire d’amplifier, les préjugés existants.

  2. Cas concrets : quand la traduction automatique ne suffit pas

    Je me souviens d’un projet pour une marque de maroquinerie haut de gamme qui souhaitait étendre sa présence en Asie. La traduction automatique classique de leurs descriptions de produits et de leur service client était fonctionnelle, mais manquait cruellement de l’élégance et de la finesse attendues par cette clientèle. Les expressions de luxe, la délicatesse des nuances de langage propres à la marque, tout cela se perdait dans la traduction brute. Nous avons dû intégrer des couches de révision humaine et d’entraînement spécifique pour que l’IA apprenne à reproduire ce “ton de voix” si particulier. Ce n’était pas juste une question de mots, mais d’émotion et de perception. Cela m’a prouvé que pour des domaines sensibles comme le marketing ou les relations publiques, l’IA multilingue a besoin d’une co-construction avec l’expertise humaine.

  3. Retour sur investissement : les bénéfices tangibles

    Investir dans l’IA multimodale et multilingue avec une supervision humaine apporte des retours sur investissement considérables. Pour les entreprises, cela signifie une meilleure accessibilité de leurs produits et services à un public mondial, une amélioration de l’expérience client et une augmentation significative de l’engagement. Pour les utilisateurs, c’est l’opportunité d’accéder à des informations, des divertissements et des services dans leur langue maternelle, sans aucune barrière. J’ai constaté que les entreprises qui ont vraiment embrassé cette approche voient leur taux de conversion augmenter et leur notoriété s’étendre bien au-delà de leurs marchés initiaux. C’est une vraie révolution pour la mondialisation.

Éviter les Pièges : Biais et Équité Linguistique

Parlons franchement, l’IA, si elle n’est pas conçue avec une conscience aiguë des enjeux éthiques, peut devenir un miroir de nos propres biais. Et quand on parle de langues et de cultures, c’est encore plus vrai.

Il est impératif d’adopter une approche proactive pour identifier et corriger les biais dans les jeux de données et, plus important encore, de promouvoir l’inclusion des langues sous-représentées.

C’est un combat que je mène personnellement, car je crois fermement que la technologie doit être un facteur d’égalité, et non d’amplification des inégalités existantes.

Ce n’est pas seulement une question d’équité, mais aussi de performance : une IA plus diverse est une IA plus robuste et plus intelligente.

  1. Identifier et corriger les biais dans les jeux de données

    Les biais peuvent être subtils. Ils peuvent résider dans la surreprésentation d’une certaine culture ou démographie dans les images utilisées pour l’entraînement, ou dans des stéréotypes véhiculés par certains corpus textuels. Par exemple, si une IA est entraînée majoritairement sur des données anglophones centrées sur la culture occidentale, elle pourrait peiner à reconnaître ou à interpréter correctement des scènes ou des concepts culturels issus d’autres régions du monde. J’ai été choqué en voyant un modèle d’IA mal interpréter des scènes de la vie quotidienne dans certaines régions d’Afrique, simplement parce que ses données d’entraînement ne contenaient pas suffisamment d’exemples de ces contextes. La seule façon d’y remédier est une évaluation rigoureuse et une augmentation délibérée de la diversité des données, avec un travail d’audit constant pour détecter et corriger ces biais insidieux.

  2. Promouvoir l’inclusion des langues sous-représentées

    C’est un véritable défi technique et financier, mais absolument essentiel. Les langues moins représentées, souvent celles des communautés marginalisées, sont celles qui bénéficieraient le plus de l’accès aux technologies de l’IA. Imaginez le potentiel pour l’éducation, la santé ou l’accès à l’information si l’IA pouvait comprendre et interagir avec ces langues. Cela demande des investissements concertés de la part des gouvernements, des institutions universitaires et des grandes entreprises technologiques. Il s’agit de créer des incitations pour les collectes de données dans ces langues, de développer des techniques d’apprentissage avec peu de données (few-shot learning) ou de transfert de connaissances (transfer learning) à partir de langues mieux dotées. C’est un engagement à long terme, mais dont les retombées sociales et économiques seraient immenses.

Vers une Réalité Multimodale Sans Frontières : Visions d’Avenir

Les avancées dans l’IA multilingue et multimodale nous projettent vers un futur où la communication ne sera plus un obstacle, mais une passerelle. Je rêve d’un monde où chacun pourra interagir avec la technologie dans sa propre langue, sans compromis sur la richesse ou la précision.

L’intégration de la voix, de la vidéo, et même des données biométriques pour une compréhension totale, c’est le Graal. Imaginez une consultation médicale où un médecin et un patient parlant des langues différentes peuvent communiquer en temps réel, avec l’IA interprétant non seulement les mots, mais aussi le ton de la voix, les expressions faciales et les gestes pour une compréhension complète du diagnostic et des émotions.

C’est une vision incroyablement puissante et transformatrice.

  1. L’intégration de la voix et de la vidéo pour une compréhension totale

    Au-delà du texte, la compréhension multimodale s’étend aux données audio et visuelles. L’IA sera bientôt capable de comprendre non seulement ce qui est dit, mais aussi comment c’est dit (intonation, émotion) et ce qui est montré (expressions faciales, langage corporel, environnement). C’est crucial pour saisir les nuances d’une conversation, les intentions cachées ou les émotions non verbalisées. J’anticipe des systèmes de visioconférence où l’IA pourrait automatiquement générer des sous-titres traduits en temps réel, tout en alertant les participants des signes non verbaux d’incompréhension ou d’accord. C’est une étape gigantesque vers une communication humaine augmentée, sans aucun doute.

  2. L’IA comme pont culturel : des perspectives insoupçonnées

    Cette capacité de l’IA à transcender les barrières linguistiques et culturelles en fait un outil puissant pour promouvoir la compréhension mutuelle entre les peuples. Elle peut rendre accessibles des œuvres littéraires, des films, des documentaires ou des cours éducatifs à des publics mondiaux, brisant les silos de l’information. J’entrevois un futur où un chercheur français pourra collaborer en temps réel avec des confrères japonais et brésiliens sur des découvertes scientifiques, chacun s’exprimant dans sa langue, et l’IA assurant une fluidité de communication totale. C’est une vision inspirante qui va bien au-delà de la simple traduction technique.

  3. Les promesses de la personnalisation linguistique avancée

    L’IA pourra s’adapter non seulement à votre langue, mais aussi à votre dialecte, à votre accent, et même à vos préférences de style. Elle pourrait apprendre vos expressions favorites, votre ton de voix, et les utiliser pour interagir avec vous de manière plus naturelle et personnalisée. Imaginez un assistant vocal qui non seulement vous comprend parfaitement, mais qui vous parle avec l’accent et les expressions de votre région natale, même si vous vivez à l’étranger. C’est une touche de magie qui rend l’interaction avec la technologie encore plus humaine et réconfortante.

Mon Bilan et Mes Projections : L’IA au Service de l’Humain

Pour conclure cette exploration fascinante, je tiens à partager mon ressenti personnel sur l’avenir de l’IA multilingue et multimodale. C’est une révolution en marche, et nous en sommes les témoins privilégiés.

En tant qu’influenceur, je vois déjà l’impact colossal sur la création de contenu, la portée des messages et la connexion avec des communautés globales.

Mais au-delà de ma sphère professionnelle, je suis convaincu que cette technologie a le pouvoir de transformer profondément la société, en rendant la connaissance et la communication accessibles à tous.

  1. Ce que cette évolution signifie pour nous, créateurs de contenu

    Pour nous, les créateurs de contenu, c’est une aubaine incroyable. La capacité de diffuser nos idées, nos histoires et nos passions au-delà des frontières linguistiques est une révolution. Je peux imaginer des outils d’IA qui nous aideront à localiser nos vidéos, nos articles et nos podcasts pour des publics du monde entier, en préservant non seulement le sens, mais aussi le ton, l’humour et les références culturelles. Cela ouvre des opportunités de collaboration internationales inédites et permet à des voix uniques d’atteindre un public qu’elles n’auraient jamais pu toucher auparavant. C’est une démocratisation de la création et de la diffusion.

  2. Les prochaines étapes cruciales pour une IA vraiment intelligente

    La route est encore longue, certes. Nous devons continuer à investir dans la recherche fondamentale, à améliorer la qualité et la diversité des données d’entraînement, et à développer des modèles plus robustes et moins sensibles aux biais. La transparence et l’explicabilité des modèles deviendront également primordiales, surtout dans des applications critiques comme la santé ou la justice. Mais ce qui me semble le plus important, c’est de maintenir une approche éthique et centrée sur l’humain, en s’assurant que ces technologies servent le bien commun et réduisent les inégalités, plutôt que de les accentuer.

  3. Pourquoi je crois plus que jamais en cette technologie

    Personnellement, je suis plus optimiste que jamais. J’ai vu l’IA évoluer à une vitesse vertigineuse, passant de simples algorithmes à des systèmes capables de dialogues complexes et de raisonnement. La convergence du multilingue et du multimodal est la prochaine étape logique, une sorte de “maturité” pour l’IA. Elle nous permettra de briser des barrières séculaires, d’enrichir notre compréhension du monde et de nous connecter les uns aux autres de manière plus profonde et significative. C’est une quête passionnante, et je suis ravi de la partager avec vous.

Défi Actuel Impact sur l’IA Multimodale Stratégie de Surmontage
Disparité des données linguistiques Performance inégale selon les langues, biais culturels. Collecte et annotation de données multilingues massives et diversifiées. Initiatives d’open-sourcing de corpus.
Nuances culturelles et contextuelles Mauvaise interprétation des images, sons, et expressions idiomatiques. Intégration d’experts culturels, développement de modèles agnostiques à la culture, entraînement sur des corpus culturellement riches.
Coût et complexité de l’entraînement Limitation de l’accès à la recherche et au développement pour les petites entités. Développement de modèles de fondation réutilisables, techniques de “few-shot learning”, optimisation des architectures modèles.
Éthique et Biais Algorithmiques Amplification des stéréotypes, discriminations. Audits réguliers des jeux de données et modèles, développement de cadres éthiques, promotion de l’équité linguistique et de l l’inclusivité dès la conception.

En guise de conclusion

Nous avons exploré ensemble les méandres de l’intelligence artificielle multilingue et multimodale, et j’espère que vous partagez mon enthousiasme. C’est une odyssée technologique qui redessine les contours de la communication humaine. Mon expérience me confirme que chaque pas en avant nous rapproche d’un monde où les barrières linguistiques et culturelles s’estompent, ouvrant la voie à une compréhension universelle.

L’IA n’est pas seulement un outil, c’est un catalyseur de connexion, et notre rôle, en tant qu’humains, est de guider son développement pour qu’elle serve le bien commun et nous permette d’interagir encore plus richement.

Informations utiles à retenir

1. L’IA multilingue et multimodale vise à comprendre le sens au-delà de la langue et du format, comme un concept universel.

2. La diversité et la qualité des données d’entraînement sont cruciales pour éviter les biais et assurer la performance dans toutes les langues.

3. L’expertise humaine reste indispensable pour la curation des données, l’adaptation culturelle et la validation des résultats de l’IA.

4. Les modèles de fondation (comme GPT-4) sont des acteurs majeurs dans la construction de représentations sémantiques agnostiques à la langue.

5. L’avenir promet une IA capable de comprendre non seulement les mots, mais aussi les émotions, les gestes et les nuances culturelles pour une communication augmentée et plus naturelle.

Points clés à retenir

L’intelligence artificielle est en pleine évolution vers une compréhension universelle, brisant les barrières linguistiques et modales. Malgré des défis liés à la disparité des données et aux nuances culturelles, les avancées permises par les modèles de fondation sont extrêmement prometteuses. L’implication humaine est absolument vitale pour garantir une IA éthique, juste et performante, capable d’offrir une équité linguistique et une personnalisation inédite. Cette technologie est destinée à transformer radicalement la communication, l’accès à l’information et la collaboration mondiale, faisant de l’IA un véritable pont entre les cultures et les individus.

Questions Fréquemment Posées (FAQ) 📖

Q: Quelles sont, selon votre expérience, les principales difficultés rencontrées pour que l’IA puisse comprendre et générer du contenu pertinent quelle que soit la langue de départ ou d’arrivée, surtout en multimodal ?

R: D’après ce que j’ai pu observer directement sur le terrain, le plus gros hic, c’est la disponibilité inégale des données d’entraînement. C’est un peu comme vouloir apprendre à nager à quelqu’un dans une piscine où il n’y a de l’eau qu’au fond.
J’ai été personnellement confronté à des modèles qui étaient des champions en anglais mais qui peinaient à saisir les nuances du français ou de l’allemand, surtout quand on y ajoutait l’interprétation d’images ou de sons.
C’est incroyablement frustrant de voir ce potentiel inexploité à cause de ce déséquilibre, et ça crée des biais qui limitent l’efficacité de l’IA. Pour moi, c’est le défi numéro un.

Q: Vous parlez d’une “IA véritablement universelle”. Comment imaginez-vous concrètement cette vision transformer notre quotidien et nos interactions ?

R: Oh, la vision est tellement enthousiasmante ! Imaginez une réunion virtuelle où non seulement les paroles sont traduites en temps réel, mais où l’IA interprète aussi les expressions faciales, les gestes, pour une compréhension totale, holistique.
Fini les malentendus culturels ou linguistiques ! Ou, pour prendre un exemple plus personnel, la capacité d’apprendre d’un document technique rédigé en mandarin, avec des schémas annotés en anglais, et de pouvoir ensuite générer une synthèse parfaite en français, adaptée à mon niveau de compréhension.
C’est ça, la vraie révolution : rendre le savoir et la communication fluides, sans aucune frontière. Mon expérience me confirme que ces innovations vont bien au-delà de la simple technique ; elles redéfinissent la façon dont nous nous connectons au monde et aux autres.

Q: Quelles sont les avancées spécifiques qui vous rendent si optimiste quant à la capacité de l’IA à dépasser ces barrières linguistiques et culturelles ?

R: Ce qui me donne un espoir immense, ce sont les dernières percées avec les modèles de fondation, comme un certain GPT-4, dont les capacités sont bluffantes.
On ne parle plus seulement de traduction mot à mot, mais de créer des “représentations sémantiques” qui transcendent la langue elle-même. Pour le dire simplement, l’IA commence à saisir le concept derrière les mots, indépendamment de la langue dans laquelle ils sont exprimés.
C’est comme si elle accédait à une sorte de langage universel du sens. C’est cette capacité à passer d’une langue à l’autre en gardant intact le sens profond qui me passionne le plus.
C’est ce qui, selon mon expérience et mes observations, va rendre l’IA capable de comprendre le monde avec une richesse et une nuance jusqu’alors inaccessibles, et c’est ce qui nous mènera vers cette communication sans frontières.